Fous d’histoire du 16/17 novembre 2024

Chers abonnés, un petit post pour vous rappeler que le stand du Labo de Cléopâtre vous attend à l’événement Fous d’Histoire de ces 16 et 17 novembre 2024, dans le second bâtiment du Tigre, salle de spectacles et d’événements de Margny-lès-Compiègne.

Je vous mets ici le lien : vous y verrez tous les renseignements fournis par l’Association pour l’Histoire Vivante, organisatrice de l’événement depuis de très longues années. Achats de billets, informations diverses, listes des artistes et artisans présents à l’événement…

Spectacles, reconstitutions, démonstrations, concerts, échoppes en tout genre et public costumé seront présents et animeront l’événement pour le plaisir de tous.

Suivez le lien pour connaître le programme

Enfin, pour se faire plaisir – parce que depuis le début, c’est un plaisir ! – ma galerie des années précédentes, sans réel soucis de date, au hasard de ce que j’ai trouvé dans mon téléphone….

N’oubliez surtout pas l’adresse !

LE TIGRE 2 RUE JEAN MERMOZ
MARGNY-LÈS-COMPIÈGNE, 60280 FRANCE

Cet article et photos sont la propriété du site Le labo de Cléopâtre. Il est interdit de les reproduire sans l’autorisation de leur auteur.

Collection d’encens en bâtons « Domus » : les plantes sacrées des maisons romaines

Pour cette rentrée 2023, l’idée m’est venue de créer et proposer une collection d’encens historiques à visée pédagogique pour découvrir ou redécouvrir les plantes sacrées et préférées de l’Antiquité ainsi que le sens que cela représentait pour chacune d’entre elles.

Elle est à visée pédagogique, ce qui veut dire qu’elle est d’abord là pour enseigner, mais sa vocation n’est pas de rester dans les salles de classe ou les ateliers du musée ou du parc archéologique : partout où vous voulez l’apprendre vous-mêmes, l’enseigner aux autres ou offrir un parfum romain à un lieu spécifique.

En réalité, les plantes de l’Antiquité sont très nombreuses et malgré des plantes de même espèce et très reconnaissables, on peut être surpris par leur variété. C’est surtout vrai des plantes grecques dont les variétés de thym, de menthe ou d’origan, sauvages et issues des montagnes, sont beaucoup plus racées. Il serait d’ailleurs passionnant de travailler avec elles et d’en partager la connaissance, malheureusement, elles n’existent pas en huiles essentielles – très développées en Europe occidentale mais pas ailleurs où c’est l’emploi de la plante brute qui domine – et globalement, elles nous sont culturellement étrangères, malgré leur cousinage avec des espèces que nous connaissons mieux.

Alors, oui, contrairement à d’habitude, j’ai fait le choix des huiles essentielles, mais uniquement pour compenser la perte due à la présence obligatoire de bois neutre pour créer un bâton. Le reste, c’est la plante brute. Mais si vous deviez brûler du romarin sans bâton, ce serait la plante pure et donc un parfum plus intense : avec l’huile essentielle, je compense ce manque de façon complètement naturelle.

La collection s’appelle « Domus » parce qu’elle vous fait entrer dans une maison romaine. En effet, les plantes choisies sont celles de la culture romaine qui nous est proche, et dont le Sud de la France conserve encore dans son patrimoine culinaire les plantes à parfum aimées par les Romains. Pour autant, l’usage n’était pas forcément le même, et d’une manière générale, nous avons plus utilisé les plantes à parfums de la culture romaine de façon alimentaire qu’ils ne le faisaient eux-mêmes.

Dans une société industrielle, il est difficile de se représenter la place que pouvaient avoir les végétaux dans une société traditionnelle dont l’environnement proche constitue l’essentiel de ses ressources. Pour autant, c’est la situation la plus représentée dans le monde : plantes, minéraux, animaux, investis de pouvoirs ou vertus spéciaux au gré de cultures particulières, sont porteurs de sens et d’émotions variés selon le lieu, l’histoire, les croyances et les usages.

C’était aussi comme ça pour les Anciens. Et bien que certaines croyances et usages aient complètement disparu, ils ont fait partie de l’histoire de notre civilisation.

Ainsi, dans la culture gallo-romaine, la plante sacrée était plus généralement une plante aromatique à feuillage persistant par sa façon de résister au froid et au passage des saisons. A l’inverse des plantes caduques qui perdaient leur feuillage en automne, les plantes à feuillage persistant évoquaient l’immortalité, et ce faisant, les dieux, seuls immortels dans les conceptions anciennes.

Une plante sacrée était donc plus souvent une plante qui semblait ne jamais mourir, et les jardins romains étaient principalement composés d’espèces à feuillage persistant, plutôt semi-alimentaires et très aromatiques. La plante sacrée de l’Antiquité réunissait ainsi le plus souvent ces 3 qualifiés particulières.

J’ai choisi l’encens en bâton artisanal car il est très facile d’utilisation et permet ainsi facilement la rencontre avec l’expérience de fumigation pour laquelle nous avons souvent moins de motivation que les Anciens, y associant moins de vertus médicinales et sacrées.

– Le bâton est fait à la main par mes soins depuis une formulation personnelle décidée pour ce projet et sa composition est à la fois 100% artisanale et 100% naturelle.

– La boîte est fournie avec une notice où sont données quelques informations sur la façon dont les Anciens considéraient la plante et comment ils l’employaient sous forme de fumée odorante, mais exclut l’explication de son utilisation orale – puisque ce n’est pas l’expérience que vous en ferez avec ce produit.

– En revanche, vous pouvez les employer pour créer une atmosphère, vous figurer l’ambiance des maisons de l’Antiquité, l’odeur des autels, des carrefours, des mariages, etc…

_Venez ainsi découvrir les façons anciennes de considérer et d’utiliser : le cyprès, le laurier, la myrte, l’origan et le romarin sur la boutique Etsy du Labo de Cléopâtre !

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Les sens multiples du parfum

Après 5 ans passés en projet Labo de Cléopâtre, explorant l’origine et la diversité des formes du parfum dans nos civilisations, c’est l’image d’un usage du parfum protéiforme tout autant qu’indispensable qui se dessine.

Ce qui monte vers dieux et esprits

Si l’étymologie du parfum – per fumum, par la fumée – laisse deviner les origines probables des premiers usages qu’on faisait du parfum, il faut reconnaître que de nombreuses utilisations de par le monde prouvent sa survivance dans les mœurs. Il faut dire qu’avec un peu de feu, une résine ou une plante à parfum, on est déjà dans l’offrande qui agrée aux dieux, aux esprits et qui nous les concilie.

Pourquoi donc s’en priver ? D’autant que ça fonctionnait avec les résines les plus précieuses d’Arabie comme avec la plus modeste branche de romarin, l’encens du pauvre.

Ailleurs dans le monde, sauge blanche, genévriers divers – dont des espèces diversement parfumées poussent un peu partout -, résines et bois odorants ordinaires ou précieux sont comme des cadeaux que la Terre ferait au Ciel depuis la nuit des temps, éclaboussant au passage les Hommes de leurs bienfaits.

Ces usages évoluant dans le temps et l’espace, la découverte de nouveaux territoires et de nouvelles plantes à parfum enrichissent la palette de ce qu’on peut offrir au divin.

Ainsi, la conquête de l’Inde par Alexandre le Grand a ouvert la porte au safran et au nard dans la culture grecque puis l’a diffusée dans tout le monde méditerranéen – la Bible de l’époque de Jésus le mentionne – pour s’étendre sur les pratiques religieuses mais aussi celles du luxe et de la coquetterie.

Plus tard, la colonisation des Amériques a permis d’autres découvertes parfumées dont celle du baume de Tolu venu remplacer le baume de Judée – devenu rare – dans des recettes sacerdotales datant des premiers siècle de l’ère chrétienne.

Mais chez les Hommes, les intérêts du divin se mêlent toujours aux intérêts humains. Comme les dieux, les esprits qu’on convoque en magie ou qu’on veut se concilier lors d’un événement particulier aiment les parfums et sont d’autant plus sensibles aux demandes qu’elles sont accompagnées d’offrandes d’encens : Afrique, Amérique, Europe, Asie, tous ont depuis la nuit des temps des pratiques de fumigation sacrées, symboliques ou magiques censées renforcer le lien entre les dieux, les esprits – djinns, loas, saints, ancêtres – et les Hommes.

– Parfums pour séduire

Si la littérature grecque se fait le témoin bien souvent de l’utilisation de parfum dans les pratiques religieuses, hygiéniques ou funéraires, elle n’échappe à celle qu’on lui connaît aujourd’hui : le parfum pour séduire.

Les courtisanes de Lucien, les épouses d’Aristophane, sont déjà des femmes dont on pourrait dire qu’elles cocottent – du nom de ces courtisanes du 19 ème siècle qu’on repérait rapidement à Paris – et qu’ainsi on n’oubliait pas ! – à leur parfum puissant et provocateur.

Évidemment, pas besoin de faire commerce de ses charmes : vouloir séduire, vouloir marquer l’esprit de celui qu’on aime ou marquer plus favorablement l’esprit de son mari quand on est dans un couple polygame.

En Afrique, dans les pays où on pratique la polygamie, la concurrence fait rage entre épouses d’un même homme, enrichissant et développant le commerce des artifices de séduction, vêtements sexy, lingerie, parfums – mélange de résines locales, mondiales et de parfums huileux issus de l’industrie et qui ont culturellement gagné une réputation durable comme ensorceleurs.

Ces accessoires indispensables sont censés posséder des vertus magiques et aphrodisiaques après lesquelles les femmes courent pour gagner la première ou unique place dans le cœur du mari, seule condition pour une meilleure qualité de vie.

– Performances techniques et industrielles

Mais en Occident où la chimie gouverne depuis le 19 ème siècle le monde de la parfumerie, le parfum prend d’autres voies plus confidentielles que celles du début de son histoire. Comme dans les premiers âges, le parfum permet toujours de séduire, de se distinguer autant socialement.

Les échelles de prix d’aujourd’hui rappellent la description que Pline fait des différents parfums à la mode à son époque et dont les meilleurs se faisaient dans différentes régions du monde – le parfum d’iris à Corynthe et Cysique, celui de rose à Phasèle, celui de safran à Solis, etc… – comme les parfums sont réputés à Grasse, à Paris ou en Italie.

Pourtant, c’est le défi technique et la compétition industrielle et publicitaire qui vont distinguer un parfum d’un autre, à partir de limites toujours repoussées. Dans la nature, en effet, rares sont les matières premières naturelles qui acceptent de livrer leur parfum.

Les chimistes ont trouvé le moyen de s’en passer et même de faire sentir une fleur muette sans utiliser celle-ci. Des performances qui font la réputation des grandes « Maisons » pour lesquelles travaillent ces parfumeurs chimistes dans leur laboratoire, et la fierté de ceux qui se vantent de porter le jus de telle ou telle « Maison ».

Le parfum chimique est aussi une façon économique d’inonder le marché d’odeurs à la mode : les jus se font à la commande, avec des ingrédients plus ou moins chers selon l’exigence de budget du client. C’est ainsi que vous retrouvez facilement des encens indiens réalisés industriellement en plongeant des bâtons dans des cuves de parfums chimiques français sentant finalement plus ou moins un parfum connu de Dior !

Alors, bien évidemment, quand j’arrive au marché de l’histoire avec mes produits faits à la main avec de vraies plantes, j’ai appris qu’en général, il est inutile d’aborder les vieilles dames, fidèles à la confiance en la science et la chimie de leur génération qui ne jurent que par Chanel et qui se méfient du reste.

Mais je peux quand même compter sur :

– les chercheurs, historiens et reconstituteurs et tous métiers en lien avec l’histoire et la culture

– jeunes préoccupés par l’environnement

– Africains et Africaines du Nord dont la façon de faire des parfums traditionnels du Labo de Cléopâtre ressemble tant à la leur.

D’ailleurs, quand Zohra, ma voisine d’origine algérienne me demande de l’encens, elle me dit : « Maud, s’il te plaît, un peu de parfum. » Moi, là où j’ai grandi, un parfum veut dire un liquide odorant majoritairement chimique sur base d’alcool. Même si depuis, j’ai changé de sentier…

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Les bâtons du Labo : le parti-pris des plantes traditionnelles

La boutique du Labo de Cléopâtre s’est construite au fil de découvertes lors de reconstitutions minutieuses qui ont donné lieu à une vaste proposition de produits parfumés rigoureusement historiques qui vont des mélanges d’encens simples aux kyphis en passant par les parfums huileux – et depuis peu encore, de poudres parfumées du 18 ème siècle pour perruques, pastilles à brûler de la même époque et autres sachets pour le linge, aux recettes reconstituées intégralement.

C’est ce fond authentique et historique, basé sur le respect strict de recettes qui vaut à la boutique l’intérêt des musées, et la présence de son stand au marché de l’histoire de Compiègne. Une aventure historienne qui va se prolonger d’ici quelques mois avec la sortie de mon livre sur les cosmétiques de l’Antiquité chez Améthyste, du groupe Alliance Magique.

Néanmoins, le Labo de Cléopâtre, vous le savez par ce blog, c’est aussi un laboratoire de recherches autour des cultures traditionnelles dans l’utilisation des plantes pour leurs vertus et les croyances qui y sont associées dans les différentes cultures ancestrales. Un domaine si riche et si vaste qu’on peut réellement parler de patrimoines ancestraux d’utilisation des plantes selon un environnement et une histoire donnés, quitte à faire se rejoindre certaines cultures.

Des coutumes qui peuvent perdurer dans la société moderne, au travers, surtout, de l’utilisation de tisanes qu’on pratique depuis toujours. Or, verveine, camomille, valériane et autres sont des plantes utilisées par nos ancêtres depuis l’Antiquité. Ce n’est évidemment qu’un exemple connu de tous, mais dont finalement le territoire semble bien limité au regard de tout ce que les autres civilisations semblent se permettre d’utiliser comme plantes dans leurs différents rituels – de la magie à la médecine en passant par l’hygiène -.

Nous connaissons et reconnaissons ainsi un moment sacré de la spiritualité indienne aux effluves de bois de santal, un rituel amérindien aux fumées odorantes de sauge blanche…Mais le reste ?

C’est ça et le reste que je me propose de vous faire découvrir dans la collection de bâtons d’encens du Labo de Cléopâtre. 100 % naturels. Aussi faciles d’utilisation que n’importe quel autre bâton mais sans huile essentielle, charbon ou salpêtre ajoutés, ils sont formulés à l’atelier et faits à la main uniquement par mes soins. Ils ne contiennent que des plantes qui ne doivent rien au hasard mais qui ont leurs racines dans l’utilisation qu’en faisaient ou qu’en font toujours les civilisations.

  • C’est le cas de l’indienne et l’amérindienne, dont il a déjà été question et dont l’usage perdure dans les pratiques spirituelles, donc vous les connaissez bien :
  • Bâtons India, sur bois de santal
  • Bâtons Amérindiens, sur sauge blanche telle qu’on l’utilise pour la purification.
  • Moins connues, les plantes magiques et sacrées égyptiennes du kyphi – utilisés dans les rites religieux se retrouvent dans les bâtons égyptiens.
  • Quand elles appartiennent plus simplement à l’histoire de la médecine ou de la parfumerie égyptienne, on les retrouve dans les bâtons Alexandrie et bâtons Cléopâtre.
  • Plus près de notre civilisation et nos racines gréco-romaine, la botanique mythologique – et les associations divinités et plantes actives – se retrouvent à la boutique du Labo dans de nombreuses collections d’encens en bâtons servant désormais également à vos pratiques. En boutique ésotérique matérielle ou sur ma e-boutique, vous retrouvez ainsi des bâtons d’encens aux plantes seules – ou en synergies – consacrées aux divinités grecques suivantes :
  • Aphrodite ( pour l’instant uniquement dans le cadre d’un coffret)
  • Apollon
  • Hadès
  • Morphée
  • Artémis
  • Les 3 déesses Artémis, Athéna et Aphrodite

Encore plus proche, vous retrouvez les plantes du sud de la France toujours estimées dans le bâton gallo-romain

Pêle-mêle, à cheval .entre les croyances ancestrales et des pratiques qui parfois perdurent dans le monde moderne, j’ai conçu pour votre bien-être et sur des bases authentiques :

  • Et enfin, bien évidemment, certaines plantes d’Europe du Nord se retrouvent dans plusieurs civilisations et vous pouvez aussi les employer et les retrouver avec avantage dans vos pratiques vikings avec Les bâtons vikings, mais aussi vos pratiques druidiques avec :
  • Artemisia sacra, composé d’armoise, plante à rêves des anciens druides.
  • Les bâtons druidiques, aux plantes sacrées des druides pour redonner la joie comme la vraie verveine.
  • Les bâtons Protection druidique, au millepertuis chasse-démon qui amène sur vous le soleil de Litha.

Je ne vous cache pas mon envie d’agrandir encore la collection pour diffuser d’autres merveilles du patrimoine botanique des civilisations, mais j’espère avoir d’ici là mis un peu de clarté dans l’offre auto-combustible du Labo de Cléopâtre, sa logique et ce qu’elle vous propose.

Pour terminer, retrouvez toute l’offre des encens en bâtons du Labo de Cléopâtre en un seul coup d’oeil, qui de plus, sera toujours actualisée.

(Vous êtes une boutique et souhaitez distribuer les encens artisanaux en bâtons du Labo de Cléopâtre ? Envoyez-moi un mail à l’adresse en lien dans la barre de droite)

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Senteurs du Labo de Cléopâtre et authenticité

La Labo de Cléopâtre, c’est un blog et une boutique de senteurs de l’Antiquité que j’ai ouverte sur Etsy. Aujourd’hui, sur mon blog, je vais vous éclairer le lien entre les produits que je réalise et le type de recettes qui les a inspirés. Car la première étape, ce par quoi tout a commencé, c’est la recherche.

Il n’y a aucune qui ne soit issue de mon imagination, même si, bien entendu, il doit y avoir une certaine dose d’invention mais surtout de logique pour combler les manques liés à une recette manquant de proportions ou dont un ou plusieurs ingrédients ont disparu.

Il y a donc des degrés dans la part prise par les textes et celle prise par la re-création, la créativité.

  • La recette est complète : elle comporte des proportions précises et des détails de fabrication

– Parfum sec de roses

– Parfum sec de roses 2

– Parfum antique de roses

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  • La recette est complète mais certains ingrédients qui la composent ne sont plus trouvables, il y a des détails de fabrication

– Kyphi de Dioscoride

– Encens biblique

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  • La recette antique est complète à part quelques proportions non précisées, il y a des détails de fabrication mais certains ingrédients ne sont plus trouvables

– Nettoyant de Cléopâtre

– Parfum de robes

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  • La recette existe uniquement sous forme de liste d’ingrédients qui la composent et plus ou moins de détails de fabrication

– – Kyphi de Galien

– Kyphi syriaque

– Encens de Gilgamesh

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  • Il n’y a pas de recette, juste une liste d’ingrédients utilisés dans telle ou telle région ou telle ou telle circonstance

– Encens d’Aphrodite

– Encens de funérailles romaines

– Encens de mariage mythologique

– Encens de Dionysos

– Encens du tribunal

– Encens crétois

– Kyphi de Pylos

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  • Des textes d’historiens ou de botanistes évoquent les effets supposés de quelques plantes, selon les croyances de l’Antiquité

– Aphrodisiaque grec

– Aphrodisiaque romain

– Aphrodisiaque indien

– Encens de sommeil

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Les ouvrages de référence utilisés peuvent être :

  • Des textes littéraires, poésies, mythes antiques, etc…
  • Des ouvrages de botanistes, historiens, naturalistes anciens
  • Des ouvrages de médecins de toute la période antique
  • Des compilations d’extraits de textes antiques par des chercheurs en lettres
  • Des ouvrages d’historiens ou de parfumeurs de l’époque moderne
  • Des ouvrages d’historiens contemporains sur l’histoire du parfum
  • Des ouvrages d’historiens contemporains sur la botanique ancienne

Dans tous les cas, l’histoire de chaque produit vous est brièvement racontée sur chaque fiche produit et plus précisément lorsque vous passez commande et recevez un produit puisque aucun ne vous est envoyé sans papier explicatif.

Cet article ayant l’avantage de rendre simple et clair ce que je fais, je l’enrichirai au fur et à mesure de l’évolution de la boutique et de son enrichissement en produits. Donc, si mes créations de senteurs antiques vous intéressent, n’oubliez pas de mettre cette page en favori.

Ma boutique dans son ensemble pour tout voir en une seule page

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